A l'occasion de cette première visite de Pékin, nous avons assisté à un spectacle donné par des artistes de l'opéra de Pékin.
Il est utile de préciser que la ressemblance avec l'opéra européen s'arrête au nom et au fait qu'il s'agit d'un spectacle avec des chants. C'est l'occasion d'un dépaysement radical avec de grandes différences.
Première différence : les costumes et le maquillage
Deuxième différence : la musique ou plus exactement un ensemble de sons pour un européen en quête d'harmonie et de mélodie.
Troisième différence : le chant , 90% en voie de tête hyper aigue, même Balavoine dans Starmania a une voie de basse en comparaison. Difficile à supporter !
Quatrième différence : le spectacle qui était divisé en trois parties est plutôt comparable à du cirque.
Ne croyez pas que nous avons été déçu, le dépaysement est garanti et réussi, objectif atteint!
Quelques photos car le volume disponible sur le site ne permet pas déposer une vidéo, on la tient à disposition pour les accros sur simple demande....
Première partie du spectacle :
Une femme veut rejoindre son amoureux dont la famille ne veut pas entendre parler; Elle se sauve et part le rejoindre en essayant de traverse une rivière. Pour cela elle doit emprunter le bateau piloté par un vieux monsieur....
Deuxième partie du spectacle :
Une fée veille sur l'humanité . Un spectacle de danse avec des rubans immenses animée par une cantatrice (chevelue mais hyper soprano !)
Troisième partie du spectacle :
De multiples acteurs avec des scènes de combat et de jet de lances....
Finalement une découverte limitée en durée est suffisante, certains spectacles durent plus de 4 heures.
samedi 28 février 2009
Pékin - exterieurs de la ville
Pour compléter la découverte de Pékin, on vous propose l'inévitable Grande Muraille, la visite du tombeau d'un Empereur Ming e quelques extraits sur la vie à Pékin.
La Grande Muraille , ce sujet qui représente à lui tout seul la Chine par son aspect monumental, à la taille du pays et aussi par sa volonté de se protéger des assaillants voir de se replier sur lui-même, nous nous devions de le traiter. Compte tenu de la date de notre visite de Pékin et du délai dont nous disposions, nous nous sommes contentés d'un petit aperçu dans un site reconstruit pour les touristes. La vraie découverte nécessite de s'éloigner de 200 kms de pékin et de faire une randonnée de plusieurs jours pour mieux appréhender cette grande muraille.
Donc nous y étions :
Même reconstituée, le spectacle est impressionnant, la photo résulte en fait du montage de plusieurs photos....
Il suffit d'imaginer une muraille de plusieurs milliers de kilomètres, réalisée à la main, dans des endroits difficiles d'accès, pour mesurer la souffrance des hommes qui l'ont construite.
Et quand on dit difficile d'accès, c'est peu dire :
Au détour on découvre des particularités, par exemple une ligne de cadenas accrochée contre un mur.
Pendant l'escapade hors des murs de Pékin nous avons également visité le site des tombeaux des Empereurs Ming et le musée associé.
La dynastie des Ming qui a laissé une empreinte significative a régné de 1368 à 1644 (précis !). Après plus d'un siècle de domination mongole sous les Yuan, la population chinoise rejeta le « règne des étrangers ». Ce mouvement, qui pris la forme d'une suite de révoltes paysannes, repoussa la dynastie Yuan dans les steppes mongoles et établit la dynastie Ming en 1368.
La dynastie Ming s'ouvrit sur une renaissance culturelle : les arts, particulièrement l'industrie de la porcelaine, se développèrent comme jamais auparavant. Les marchands chinois explorèrent et commercèrent dans tout l'océan Indien, atteignant même l'Afrique lors des voyages de Zheng He ; on construisit une grande flotte comprenant des navires à quatre mâts de tonnage supérieur à 1 500 tonnes. Ce sera dans l'histoire de la Chine le seul moment où les Chinois s'interesseront à la mer, la boussole est une invention chinoise, mais détail l'aiguille indique le Sud ! La petite histoire raconte qu'en fait l'empereur avait ordonné cette expédition pour retrouver l'amant d'une de ses épouses et que de guerre lasse l'expédition s'est arrêtée en Afrique et est retournée en Chine bredouille.
L'armée régulière comptait un million d'hommes ; plus de cent mille tonnes de fer étaient produits par an, en Chine du Nord, et de nombreux livres furent imprimés à l'aide des caractères mobiles inventés au XIe siècle, pour méméoire Gutemberg a "inventé" l'imprimerie en Europe aux environs de 1450.
Il a été dit que la Chine du début de l'ère Ming était le pays le plus avancé de la Terre.
Cette dynastie entreprit d'enterrer tous les empereurs sur un même site, dans un cirque de plusieurs kilomètres de largeur. Ce lieu a bien sûr été choisi pour que les empereurs soient protégés même dans leurs tombes des vents, des mauvais esprits etc. Au final il y a 13 tombeaux et on peut visiter principalement un tombeau celui de Dingling destiné à l'empereur Wanli. Celui-ci était prévoyant puisqu'il débuta la construction de son tombeau à l'age de 14 ans, mais compte tenu de la taille de l'édifice, il valait mieux commencer tôt.
Une vue générale du site, mais attention c'est une miniature qui fait partie du parc Splendid China à Shenzhen
La topologie de l'ensemble reprend les mêmes principes de la symbolique chinoise. En effet on entre dans une grande cour carrée, symbole de la Terre puis on pénètre dans un deuxième ensemble fortifié rond , symbole du Ciel; à l'intérieur du deuxième ensemble un tumulus de terre qui protège le tombeau.
La visite du site débute donc par la première porte d'accès à la cour:
Au détour comme toujours des jardins bien agréables (en été certainement)
La visite continue par une vue des fortifications
Un détail avec une rampe d'accès d'époque et on devine l'ensemble d'arbres également d'époque
La Grande Muraille , ce sujet qui représente à lui tout seul la Chine par son aspect monumental, à la taille du pays et aussi par sa volonté de se protéger des assaillants voir de se replier sur lui-même, nous nous devions de le traiter. Compte tenu de la date de notre visite de Pékin et du délai dont nous disposions, nous nous sommes contentés d'un petit aperçu dans un site reconstruit pour les touristes. La vraie découverte nécessite de s'éloigner de 200 kms de pékin et de faire une randonnée de plusieurs jours pour mieux appréhender cette grande muraille.
Donc nous y étions :
Même reconstituée, le spectacle est impressionnant, la photo résulte en fait du montage de plusieurs photos....
Il suffit d'imaginer une muraille de plusieurs milliers de kilomètres, réalisée à la main, dans des endroits difficiles d'accès, pour mesurer la souffrance des hommes qui l'ont construite.
Et quand on dit difficile d'accès, c'est peu dire :
Au détour on découvre des particularités, par exemple une ligne de cadenas accrochée contre un mur.
La tradition veut que les jeunes couples attachent des cadenas aux chaînes qui longent un précipice. , Ces porte-bonheurs, auxquels sont noués des rubans écarlates, sont le symbole de leur union éternelle. On trouve principalement ces cadenas sur les montagnes sacrées de Chine.
Nota :pour les pros de la photo, je suis désolé de leur infliger l'erreur de cadrage du débutant, je ferai mieux la prochaine fois, il suffisait de se tourner de 60° et il n'y aurait pas eu d'ombre....Pendant l'escapade hors des murs de Pékin nous avons également visité le site des tombeaux des Empereurs Ming et le musée associé.
La dynastie des Ming qui a laissé une empreinte significative a régné de 1368 à 1644 (précis !). Après plus d'un siècle de domination mongole sous les Yuan, la population chinoise rejeta le « règne des étrangers ». Ce mouvement, qui pris la forme d'une suite de révoltes paysannes, repoussa la dynastie Yuan dans les steppes mongoles et établit la dynastie Ming en 1368.
La dynastie Ming s'ouvrit sur une renaissance culturelle : les arts, particulièrement l'industrie de la porcelaine, se développèrent comme jamais auparavant. Les marchands chinois explorèrent et commercèrent dans tout l'océan Indien, atteignant même l'Afrique lors des voyages de Zheng He ; on construisit une grande flotte comprenant des navires à quatre mâts de tonnage supérieur à 1 500 tonnes. Ce sera dans l'histoire de la Chine le seul moment où les Chinois s'interesseront à la mer, la boussole est une invention chinoise, mais détail l'aiguille indique le Sud ! La petite histoire raconte qu'en fait l'empereur avait ordonné cette expédition pour retrouver l'amant d'une de ses épouses et que de guerre lasse l'expédition s'est arrêtée en Afrique et est retournée en Chine bredouille.
L'armée régulière comptait un million d'hommes ; plus de cent mille tonnes de fer étaient produits par an, en Chine du Nord, et de nombreux livres furent imprimés à l'aide des caractères mobiles inventés au XIe siècle, pour méméoire Gutemberg a "inventé" l'imprimerie en Europe aux environs de 1450.
Il a été dit que la Chine du début de l'ère Ming était le pays le plus avancé de la Terre.
Cette dynastie entreprit d'enterrer tous les empereurs sur un même site, dans un cirque de plusieurs kilomètres de largeur. Ce lieu a bien sûr été choisi pour que les empereurs soient protégés même dans leurs tombes des vents, des mauvais esprits etc. Au final il y a 13 tombeaux et on peut visiter principalement un tombeau celui de Dingling destiné à l'empereur Wanli. Celui-ci était prévoyant puisqu'il débuta la construction de son tombeau à l'age de 14 ans, mais compte tenu de la taille de l'édifice, il valait mieux commencer tôt.
Une vue générale du site, mais attention c'est une miniature qui fait partie du parc Splendid China à Shenzhen
La topologie de l'ensemble reprend les mêmes principes de la symbolique chinoise. En effet on entre dans une grande cour carrée, symbole de la Terre puis on pénètre dans un deuxième ensemble fortifié rond , symbole du Ciel; à l'intérieur du deuxième ensemble un tumulus de terre qui protège le tombeau.
La visite du site débute donc par la première porte d'accès à la cour:
Au détour comme toujours des jardins bien agréables (en été certainement)
La visite continue par une vue des fortifications
Un détail avec une rampe d'accès d'époque et on devine l'ensemble d'arbres également d'époque
Enfin les salles des tombeaux maheureusement pas encore totalement en ordre pour permettre une visite plus intéressante :
Enfin la porte d'accès par où les archélogues ont découvert le tombeau :
La visite se termine par le musée qui permet de découvrir les pièces trouvées dans le tombeau qui donne un aperçu de la richesse des empereurs :
De retour à Pékin et pour terminer un extrait choisi avec quelques images de la ville :
Pour terminer Pékin by night, entrée sud de la place Tian An Men :
Enfin la porte d'accès par où les archélogues ont découvert le tombeau :
La visite se termine par le musée qui permet de découvrir les pièces trouvées dans le tombeau qui donne un aperçu de la richesse des empereurs :
De retour à Pékin et pour terminer un extrait choisi avec quelques images de la ville :
Un détail de décoration pour la charpente d'un toit
Une "fanfare" de plein-air, dans un jardin jouxtant la Cité Interdite,
pour mémoire il fait en dessous de zéro,
Plus loin dans le même jardin une chorale de presque professionnels,
eu égard à la qualité du spectacle,
Un lac qui devient un terrain de jeu très structuré,
avec des zônes pour le hockey,
des zônes pour des engins particuliers, espèce de traineau sur glace constitué d'une chaise soudée sur deux plats métalliques
Enfin petit détail, des personnes qui balayent en permanence la glace du lac !
Une "fanfare" de plein-air, dans un jardin jouxtant la Cité Interdite,
pour mémoire il fait en dessous de zéro,
Plus loin dans le même jardin une chorale de presque professionnels,
eu égard à la qualité du spectacle,
Un lac qui devient un terrain de jeu très structuré,
avec des zônes pour le hockey,
des zônes pour des engins particuliers, espèce de traineau sur glace constitué d'une chaise soudée sur deux plats métalliques
Enfin petit détail, des personnes qui balayent en permanence la glace du lac !
Les vieux quartiers de Pékin qu'on appelle "hutongs" , certains ont été épargnés de la frénésie immobilière de la Chine :
Pour terminer Pékin by night, entrée sud de la place Tian An Men :
mardi 10 février 2009
Pékin - Cité Interdite
La Cité Interdite est au cœur de la Ville de Pékin, c'est même le centre de la ville et selon la philosophie chinoise c'est même le centre du monde !
Quand l'empereur décida de transférer la capitale de l'Empire à Pékin, d'ailleurs Pékin en chinois se prononce beijing, ce qui veut dire capitale du nord, il décida de construire cette cité qui est à la démesure de ce pays. Les chiffres sont impressionnants, la cité s'inscrit dans un rectangle de 960 m par 750 m, elle est entourée de douves de 52 m de large, on dénombre 9000 chambres, etc.
Le plan de la Cité reprend le schéma des maisons traditionnelles chinoises; Tout est aligné selon un axe Nord Sud avec une parfaite symétrie. L'ensemble se divise en deux parties, la Cour Extérieure pour les personnes qui travaillaient sans y résider et une Cour Intérieure qui correspond à la partie occupée par les officiels. Cette dernière partie abritait les bureaux, la résidence de l'Empereur , les appartements des impératrices douarières.... les concubines et les enfants de l'empereur.
En avant pour une visite réalisée par une température glaciale renforcée par un vent soutenu.
Commençons par l'entrée sud par la porte Tian An Men (porte de la paix celeste) et sacrifions au cliché de la photo du Président Mao.
Après avoir franchi cette porte sud on entre dans une immense cour qui se termine par la porte Duan Men.
Après avoir passé cette porte et parcouru une bonne distance on entre pour de bon dans la Cour Extérieur en franchissant la porte du midi (Wu Men). L'impression la plus forte est liée à l'immensité des cours, des batiments et par cette protection de l'empereur grâce à un grand nombre de barrières successives. La raffinement est également perceptible dans les noms, tout d'abord Porte de l'Harmonie, suivie des Palais de l'Harmonie Suprême, de l'Harmonie du Milieu et de l'Harmonie Préservée.
Détail donnant une vue en perspective avec des colonnes de marbre..
Une vue montrant la forme des toits et les dispositions des figurines de toit
Comme toujours à Pékin on ne peut pas pénétrer à l'intérieur car les Chinois aiment toucher à tout ce qu'ils observent, pour protéger les objets il est donc interdit d'entrer et on observe de l'extérieur.
Depuis notre arrivée en Chine on a remarqué le grand nombre de figurines sur les faitières des toits, elles avaient pour bit de chasser les mauvais esprits (quand ils lancent des pétards c'est pour la même raison) et les incendies (il faut dire que les maisons ont longtemps été en bois et que de nombreux incendies ont détruit des palais en Chine). Les figurines sont réalisées en terre cuite émaillée, ce qui leur permet de conserver dans le temps un parfait état.
Ensemble de bâtiments en cours de restauration donc inaccessibles,
intéressant par les différentes figurines sur les toits.
On trouve également dans la Cité Interdite de belles réalisations de statues très variées :
Et enfin la licorne encore dénommée "cheval-dragon" qui représente le triomphe de la justice. Elle incarne donc la volonté impériale de punir le mal et de promouvoir le bien !
Pour le plaisir des yeux quelques figures géométriques intéressantes avec le choix de couleurs très spécifiques de la cité interdite, le rouge, le jaune, le rose et le pourpre, certains appellent d'ailleurs la Cité Interdite, la Cité Pourpre.
Quand l'empereur décida de transférer la capitale de l'Empire à Pékin, d'ailleurs Pékin en chinois se prononce beijing, ce qui veut dire capitale du nord, il décida de construire cette cité qui est à la démesure de ce pays. Les chiffres sont impressionnants, la cité s'inscrit dans un rectangle de 960 m par 750 m, elle est entourée de douves de 52 m de large, on dénombre 9000 chambres, etc.
Le plan de la Cité reprend le schéma des maisons traditionnelles chinoises; Tout est aligné selon un axe Nord Sud avec une parfaite symétrie. L'ensemble se divise en deux parties, la Cour Extérieure pour les personnes qui travaillaient sans y résider et une Cour Intérieure qui correspond à la partie occupée par les officiels. Cette dernière partie abritait les bureaux, la résidence de l'Empereur , les appartements des impératrices douarières.... les concubines et les enfants de l'empereur.
En avant pour une visite réalisée par une température glaciale renforcée par un vent soutenu.
Commençons par l'entrée sud par la porte Tian An Men (porte de la paix celeste) et sacrifions au cliché de la photo du Président Mao.
Après avoir franchi cette porte sud on entre dans une immense cour qui se termine par la porte Duan Men.
Après avoir passé cette porte et parcouru une bonne distance on entre pour de bon dans la Cour Extérieur en franchissant la porte du midi (Wu Men). L'impression la plus forte est liée à l'immensité des cours, des batiments et par cette protection de l'empereur grâce à un grand nombre de barrières successives. La raffinement est également perceptible dans les noms, tout d'abord Porte de l'Harmonie, suivie des Palais de l'Harmonie Suprême, de l'Harmonie du Milieu et de l'Harmonie Préservée.
Détail donnant une vue en perspective avec des colonnes de marbre..
Une vue montrant la forme des toits et les dispositions des figurines de toit
Comme toujours à Pékin on ne peut pas pénétrer à l'intérieur car les Chinois aiment toucher à tout ce qu'ils observent, pour protéger les objets il est donc interdit d'entrer et on observe de l'extérieur.
Là encore la taille est imposante et les objets d'une grande richesse.
Le trône de l'impératrice (sous réserve)
Le trône de l'impératrice (sous réserve)
Depuis notre arrivée en Chine on a remarqué le grand nombre de figurines sur les faitières des toits, elles avaient pour bit de chasser les mauvais esprits (quand ils lancent des pétards c'est pour la même raison) et les incendies (il faut dire que les maisons ont longtemps été en bois et que de nombreux incendies ont détruit des palais en Chine). Les figurines sont réalisées en terre cuite émaillée, ce qui leur permet de conserver dans le temps un parfait état.
Le nombre est lié à l'importance du bâtiment,
Ensemble de bâtiments en cours de restauration donc inaccessibles,
intéressant par les différentes figurines sur les toits.
Dans un prochain message on essaiera de compléter la conception et la signification des différentes figurines de toits.
Le lion qui représente la puissance et la dignité impériale.
un espèce de croisement entre l'éléphant et le dragon ??
En général ils sont disposés a l'entrée des palais par paire, un lion mâle qui s'appuie avec la patte droite sur une boule représentant l'unité de l'état et une lionne (sur la photo) qui s'appuie avec sa patte gauche sur un petit animal représentant la succession sans fin de la puissance impériale.
un espèce de croisement entre l'éléphant et le dragon ??
Et enfin la licorne encore dénommée "cheval-dragon" qui représente le triomphe de la justice. Elle incarne donc la volonté impériale de punir le mal et de promouvoir le bien !
Pour le plaisir des yeux quelques figures géométriques intéressantes avec le choix de couleurs très spécifiques de la cité interdite, le rouge, le jaune, le rose et le pourpre, certains appellent d'ailleurs la Cité Interdite, la Cité Pourpre.
Une autre porte dans les tons de rouge.
Pour terminer cette promenade, un aperçu du jardin qui doit révéler toute sa beauté au printemps mais gratifié de bâtiments remarquables
avec cette fontaine
Un petit pavillon de jardin...
au toit intérieur fortement décoré
Un petit pavillon de jardin...
au toit intérieur fortement décoré
La Cité Interdite est donc un trésor à découvrir et à redécouvrir. Notre visite de quelques trois heures nous a permis d'avoir un premier aperçu qui révèle une variété considérable et nous incite à poursuivre la découverte à une prochaine occasion. Si possible par une température plus propice à la flânerie.
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